Une aventure à la FNAC : 1/4
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Il fallait que cela reste confidentiel jusqu’à la remise du prix FNAC de la rentrée littéraire... Je peux désormais parler :) et vous en dire davantage sur les romans que j’ai lus en juin dernier pour la sélection FNAC.
En effet, au printemps dernier, j’ai répondu à l’appel à candidature pour être, avec 399 autres adhérents FNAC, membre du jury FNAC pour la rentrée littéraire. En juin, un courrier m’annonçait que j’étais sélectionnée (j’avais été refusée l’année précédente, était-ce mon acharnement qui les décida ?) et un petit colis suivait, qui comprenait quatre « service presse », quatre livres non prêts à la vente, et sans leur couverture définitive pour deux d’entre eux.
Enthousiaste, je décidai de commencer par le plus « joli » des quatre. Critère peu judicieux s’il en fut.
Dernier train pour Buenos Aires
Auteur : Hernan Ronsino ; traducteur : Dominique Lepreux
Editeur Liana Levi Date de parution 02/09/2010 ISBN 2867465397
Résumé FNAC :
Ce roman aussi court que marquant se situe dans un bourg à 150 km de Buenos Aires. Il donne la parole tour à tour à des narrateurs différents et emporte le lecteur dans une sorte de roman puzzle
parsemé d’indices qui prennent au fil du texte toute leur importance.
Que s’est-il vraiment passé dans cette petite ville de province, il y a plus de vingt ans ? Pourquoi Vardemann, le coiffeur taciturne, se demande-t-il s’il doit ou non pardonner à Miguelito à
l’agonie ? Qui était la Negra et pourquoi a-t-elle pris un jour le train pour Buenos Aires et n’est jamais revenue ? Elle avait des jambes sublimes, Negra Miranda, de quoi faire tourner les têtes
des jeunes hommes du bourg, de quoi rendre fou de jalousie un mari policier… Tour à tour, chacun dit ce qu’il sait, les souvenirs estompés, l’abandon, la vengeance. Et soudain, à la dernière
ligne, tout prend sens.
Mon avis :
Rien à faire, je n’ai pas réussi à entrer dans ce roman. Sur le fond, j’avais plus ou moins deviné le nœud de l’intrigue dès le départ ; sur la forme, le style m’a paru maladroit et décousu. Le livre m’est littéralement tombé des mains plusieurs fois, ça piétinait, ça pataugeait... Je me suis forcée à le terminer, avec beaucoup de difficultés.
C’était le premier des quatre romans que je lisais – ça démarrait très mal...